Une balle jaune et des hallebardes

Ou comment rater son premier Roland Garros.Le feedback dans la suite !Donc mercredi 30 mai était l’occasion pour moi de vivre mon premier Roland Garros. La météo prévue n’était pas du tout engageante et moi qui rêvait de matchs joués à l’arraché sous un soleil de plomb, il me faudra repasser. Moi qui rêvait de prendre de magnifiques photos des joueurs en mouvement, leur ombre se découpant sur la couleur si particulière des cours de notre étape nationale du grand Chelem, il me faudra repasser.15° / 83% d’humidité. Ca a été la réalité de la journée. Oh nous avons eu 1 seule interruption et vue la couleur du ciel je peux m’estimer heureux. Mais là où la télé vous montre des cours bien clairs, baignant dans une sorte de lumière printanière bienvenue, la réalité est tout autre : lumière pourrie (merci pour les photos), vent permanent, bruines passagères fréquentes ont émaillé un programme pourtant très halléchant sur le cours Susan Lenglen. A croire que les caméra ont toutes été collées en surexposition pour faire croire au téléspectateur crédule qu’un micro-climat salvateur régnait sur la porte d’Auteuil.Le programme disais-je était donc halléchant. Voyez plutôt : Safin, Mauresmo, Henin, Moya et Federer…pas mal pour une journée de 1ère semaine sur le Langlen ! Les matchs n’ont pas été très disputés et la seule surprise fut la défaite de Safin devant un Serbe bien plus motivé que le nonchalant Russe !Malgré la luminosité de m**** j’ai donc réussi à faire quelques photos. Maintenant il me faut tout dérusher et sûrement retoucher la luminosité pour rendre l’ensemble regardable malgré la lumière pourrie ! Plus de news dans une prochaine note.